Les fêtes de fin d’année sont toujours des moments rares de partage et d’exception. Pour des fêtes mémorables, la Maison Henriot dévoile sa toute nouvelle cuvée millésimée : Henriot Millésime 2012, une manière idéale pour célébrer les fêtes avec panache, élégance et prestige.
Avec cette dernière cuvée, la Maison Henriot présente une sélection parmi ses cuvées emblématiques. Elles sauront émerveiller les amateurs de bulles fines… instant festif et inoubliable !
HENRIOT MILLESIME 2012, harmonie contrastée
Ce champagne, dernier millésime de la Maison Henriot, est la fidèle représentation d’une année plus que singulière et à l’image de ses terroirs si particulier. Un Millésime est une création unique, la sélection des vins de l’assemblage lui est propre et l’expression aromatique sera de toute évidence très particulière. Henriot Millésime 2012 est né de l’assemblage de vins résultant des crus de Mailly, Verzy, Trépail et Avenay pour la Montagne de Reims, et Chouilly et Avize pour la Côte des Blancs. L’assemblage se compose de 54 % de Chardonnay et 46 % de Pinot Noir.
Sur la plan climatique, l’année 2012 s’est montrée quelque peu inquiétante pour finalement se révéler comme l’une des plus idéales. La dissemblance des profils des raisins reste dans les esprits, elle est à l’image de cette hétérogénéité des phénomènes climatiques annuels.
Alice Tétienne, Cheffe de Caves de la Maison Henriot, décrit le Millésime 2012 de la manière suivante : « Henriot Millésime 2012 est caractérisé par l’hétérogénéité aromatique et la complexité. Le premier nez est intense presque entêtant. Il est pourtant contrebalancé quelques secondes plus tard par une incroyable élégance de notes aériennes et florales. Il est en mouvement, et ce sont des notes aromatiques qui se succèdent les unes après les autres : les fleurs d’été, la meringue, les fruits mûrs, puis les groseilles fraîches d’été, la craie, la minéralité, la patine… c’est une dynamique sans fin. En bouche, c’est le même ballet qui s’organise, ce qui rend cette création unique et si séduisante. »
HENRIOT CUVEE HEMERA 2006, l’élégance divine des bulles
1880 est une année historique pour la Maison Henriot. Elle voit l’alliance de vignobles, celui du vignoble d’Apolline Henriot de la Montagne de Reims et celui de Marie Marguet dans la Côte des Blancs. La cuvée Hemera 2006 est exceptionnelle, c’est l’incarnation du savoir-faire et du style Henriot. Elle rend hommage aux six grands crus fondateurs de la Maison Henriot, transcendée par l’expression unique d’un Millésime.
Comment décrire cette cuvée spéciale Henriot Hemera 2006 : un nez expressif et généreux avec des notes d’épices, des notes de fleurs blanches et de feuilles de tilleul qui en révèlent toute l’élégance. La bouche est structurée, ciselée et définitivement présente.
HENRIOT BLANC DE BLANCS, gourmandise et générosité
1880, année marquante de la Maison Henriot, voit un nouveau cépage intégré le vignoble de l’entreprise : le Chardonnay. Henriot Blanc de Blancs est la cuvée emblématique, elle témoigne du talent indéniable de la Maison à travailler des Premiers et Grands Crus en respectant son histoire liée aux grands terroirs de Chardonnay. Un assemblage multi-années compose le Blanc de Blancs : le Chardonnay est représenté par les différents crus du vignoble. La palette aromatique exotique tranchée par une élégance et une finesse le doit à la diversité des vins sélectionnés dans l’assemblage.
La description aromatique se résume ainsi : un nez avec des notes fruitées d’ananas flambé et d’agrumes puis suivent des notes pâtissières. En bouche, une fraîcheur incroyable accompagne la texture velours.
A propos de la Maison Henriot
Maison de champagne basée à Reims, la Maison Henriot a été fondée en 1808. Propriétaire en propre d’un vignoble d’environ 35 hectares, les parcelles sont situées dans la vallée de la Marne sur Mareuil et Ay en grand cru, dans la montagne de Reims à Avenay en premier cru, et dans la Côte des Blancs à Epernay avec notamment le Clos l’Abbé et à Chouilly en premier cru. Ces vignobles sont insuffisants pour les besoins de la production, il n’en représente que 15 %. La Maison s’approvisionne donc auprès de producteurs partageant ses normes de qualité. Ces derniers se trouvent en grand cru et premier cru, particulièrement en Côte des Blancs sur les communes notamment d’Avize, d’Oger, de Cramant ou de Vertus où le chardonnay domine. Les crus du versant nord de la Montagne de Reims, dans les villages de Verzy, de Verzenay et d’Avenay-Val d’Or sont sélectionnés pour le pinot noir.
La Maison Henriot, sous l’impulsion de Joseph Henriot, a su se développer au sein de la holding familiale et faire l’acquisition de plusieurs domaines hors de la Champagne : en 1995, le Vignoble Bouchard Père & Fils à Beaune en Bourgogne, négociant et propriétaire de 130 hectares de vignes : en 1998, le Vignoble Fèvre à Chablis (1.5 million de bouteilles dont 75 % à l’export ; en 2004, la Maison Lejay-Lagoute, crème de cassis de Dijon, qui sera revendue en 2019 à La Martiniquaise, n°2 des vins et spiritueux ; en 2008, le Vignoble Villa Ponciago (anciennement Château de Poncié et propriété de la famille Bouchard) à Fleurie dans le crus du beaujolais, 50 hectares ; en 2017, le Groupe acquière la majorité du Domaine Beaux Frères dans l’Oregon aux USA, 50 hectares dont 14 hectares de vignes.
André Tirlet