Hôtel Windsor ? La perle du bonheur et d’un charme fou, à condition d’aimer l’art contemporain. Car vous êtes dans un quatre étoiles d’artistes, ancienne demeure bourgeoise de la fin du XIXème siècle, qui s’habille toujours de nouvelles créations, surtout dans le hall.
Cet hôtel fait vraiment penser à une grande sculpture hypermoderne, toute arrondie pour faire le contrepoids de la Maison de la Radio juste en face avec un regard provoc sur la Tour Eiffel.
Incontestablement cet hôtel est l’un des plus beaux et des plus historiques de la Havane. Remarquablement situé face à la Place d’Armes pavée et entourée de bâtiments coloniaux, cet hôtel de 3 étages du XIXème siècle appartenait au Conte Santovenia, membre de la noblesse cubaine.
Depuis plus de quarante ans, la caméra de Claude Lelouch a immortalisé l’amour, «Un homme, une femme, chabadabada… ». Rien n’a vraiment changé depuis la création du Festival du Film Américain en 1975 et chaque année Deauville bénéficie d’un agréable « September Song », en compagnie des plus grandes stars américaines et françaises.
Ouvert pour l’exposition universelle de 1900, l’hôtel Régina offre un emplacement exceptionnel dans Paris face au musée du Louvre et au jardin des Tuileries et surtout au cœur de la mode.
Assez récent, ce très joli hôtel, tout proche de Roland Garros, s’élève sur 6 étages. Le grand atout majeur : la déco du créateur Olivier Lapidus, qui a vraiment imaginé un univers couture et design assez chic !
A Avoriaz, l’hôtel des Dromonts est un peu comme la Tour Eiffel à Paris. Symbole de la création de la station piétonnière en 1966, l’hôtel est au carrefour du Domaine des Portes du Soleil (650 km de pistes) et du centre aqua- ludique Aquariaz (un espace tropical à 29° avec ses 1570 plantes tropicales, ses 183 arbres…) Mais sa reprise durant l’été 2015 par la famille Sibuet (Les Fermes de Marie) a généré de gros travaux de rénovation, en respectant l’architecture de l’époque, qui a pris des libertés avec les verticales et fait des infidélités à l’angle droit.
Fin XIXème, Trouville était considérée comme « Reine des Plages » avant d’être submergée par le flot de notoriété de Deauville, grâce à ses courses, son casino… Pourtant le prestigieux casino de Trouville et ses « Bains Chauds » attenant offraient un charme fou, un peu désuet.
En entrant dans la cour de cet hôtel, petit bijou du XVIème, l’émotion est garantie, comme en gravissant les marches jusqu’à la réception où l’on découvre le grand atrium bar protégé par une verrière Art Déco, autour du gris, du rouge, plancher central en verre laissant parfaitement voir la piscine en sous-sol !
Gainsbourg aurait aimé ce petit paradis des fumeurs de cigare ! Un ancien petit palais du XVIIIème siècle, appartenant au Conte de Villeneuve, qui a été récemment restauré dans son jus colonial.
A 200 m de la cathédrale, au cœur du centre historique de Valence, l’hôtel Caro est un petit bijou cinq étoiles de 26 chambres, plutôt design.
Dans cet ancien Relais de Poste du XVIIème siècle, (l’un des premiers relais sur la route du Nord), blotti au pied de l’église immortalisée par Van Gogh, l’étape est précieuse.
Si l’arrivée massive des peintres paysagistes au XIXème à l’instar de Camille Corot, Jean-François Millet, Théodore Rousseau a donné une sacrée vie au petit village de Barbizon, en lisière de la forêt de Fontainebleau, le Bas Bréau est incontestablement le phare incontournable.
Le bonheur, il est vraiment là, à une dizaine de kilomètres du Muy (passage obligé pour Saint-Tropez) car la nature est assez impressionnante avec les falaises roses des gorges de Pennafort qui plongent vers les berges de l’Endre.
Entièrement rénové en 2014, ce bel hôtel cinq étoiles revendique sa double appartenance à la modernité dans son décor et ses prestations et au caractère chaleureux de la montagne.
